dimanche 6 avril 2014

Citation du jour






« Il me reste de tout ça une grande amertume, une grande déception…Au début j’ai cru que tout le monde était beau, que tout le monde était parfait…En venant comme ça, de buts en blanc. Et j’ai découvert que c’était tout le contraire, que la plupart des gens ne sont pas de braves gens. C’est des pauvres gens…pour mettre les choses au mieux. Et puis il y a des salauds aussi en plus. Ça, c’est la deuxième couche ! C’est comme ça. Les Hommes sont monstrueux dans leurs outrances, quelque soient les bords.  J’ai envie de pleurer, alors je rigole suivant le vieil adage !
Les hommes sont des salauds y’a pas d’erreur. C’est à désespérer ! Je le dis souvent : mais comment peut-on  être une toute petite planète […] comment se fait-il que ces gens se torturent, s’arrachent les tripes ? Mais pourquoi ?! Pour quelle finalité ? […] Comment peut-on être assez con ? Comment l’Homme peut-il avoir cette connerie mauvaise de continuer cette espèce de  massacre gentil, comme si la mort ne suffisait pas ?! On a déjà cette fatalité de la mort dont personne ne réchappe et en plus ils ont besoin de presser le mouvement, besoin d’aller plus vite qu’elle ! C’est effroyable, non ? »

Fréderic Dard, in : Cette Mort Dont Je Parlais (documentaire VHS)





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